Mardi 10 MAI: JOUR 21
Avant de commencer, quelques conseils pratiques:
*pour les SMARTPHONES, i PAD et co
Vous trouverez tout en bas de la page de l'article du jour
Avant de commencer, quelques conseils pratiques:
*pour les SMARTPHONES, i PAD et co
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"Afficher La Version Web" en dessous de Accueil- appuyez dessus !
La mise en page est vraiment mieux que celle que vous voyez de prime-abord qui, elle, est désolante! Elle choque la prof de dessin que je suis restée !
-> De plus, vous aurez la possibilité de visualiser la progression de Sergio sur la carte que Nicolas met assez souvent à jour .
-> De plus, vous aurez la possibilité de visualiser la progression de Sergio sur la carte que Nicolas met assez souvent à jour .
# Pour les photos, cliquez dessus pour l'ordi et pour les autres appuyez dessus, c'est beaucoup plus joli ! Je dois adapter la pagination pour que cela ne prenne pas "trop" de place !
# N'oubliez pas non plus de jeter un coup d'oeil sur les commentaires, ils ne sont pas privés'! Et bien sûr, vous aussi pouvez en mettre, avec un compte Google, cela ne pose pas de problème.
16 h : Je suis en chemin, Serge essaye de me joindre, il n' y arrive pas, on joue à cache-cache. Enfin on s'entend mais je suis à l'extérieur et pas en bonne situation d'écoute.
Il me dit qu'il est bien arrivé à Saint-Jean-de-la-Blaquière vers 14 h.
Il a encore plu et il y a eu un col pas trop difficile. Mais alors qu'il parcourait un chemin très caillouteux et difficile, Jean Etienne qui marchait seul, s'est "pelleté" et s'est ouvert la lèvre. Après je n'ai plus eu trop le loisir de discuter avec lui.
Serge devait aller sur la route pour téléphoner car au gite il n'y a ni Wi-Fi , ni même de réseau pour le GSM.
20 h 30 : Serge arrive à me contacter car on lui a chargé une application "haut débit".
Il me raconte sa journée:
" Parti à 7 h 25 sans déjeuner, avec seulement 1 litre de lait pour un Nesquick.
Monté un premier col à 500 m sans aucune difficulté; il ne pleut plus.
Un plateau, puis un grand chemin forestier qui redescend vers le château de CASTELLAS.
Jean-Etienne, un peu lent, marchait seul lorsqu'il fit une mauvaise chute qui lui occasionna de multiples hématomes et un problème à 2 dents.
Il nous a rejoint au bar à ARBORAS où nous nous étions arrêtés pour nous restaurer.
J'ai demandé à manger un sandwich pour pouvoir prendre mon comprimé de Voltaren, mais on ne proposait que des assiettes garnies assez copieuses.
La patronne, une jeune peu avenante qui expose aussi des artistes du coin, nous a refusé de la glace pour mon genou et du Wi-fi.
Ensuite la montée sous la pluie d'un 2 ème col à 450 m, facile à monter mais dont la descente avec de nombreux rochers, des escaliers et de la terre glissante, m'a provoqué de fortes douleurs.
On est arrivé au gite communal, où nous n'avions pu réserver vu l'absence de réseau.
Nous avons dû prendre les lits où il n'y avait pas de feuillet nominatif déposé.
Nous serons 6 pour la nuit avec 1 Français et 2 Italiens.
Ce gite est tenu bénévolement depuis 13 ans par Nathalie, une hôtesse très sympathique qui aime beaucoup les marcheurs.
Les 15 euros de la nuitée sont reversés intégralement à la mairie.
Ce soir, on mange un menu pèlerin au resto-snack du coin.
Demain, l'étape est prévue jusqu'à LODEVE à 14 km, ce qui amènera une journée plus reposante pour nos ... fatigués, éclopés et abîmés!
Heureusement on prévoit du meilleur temps pour jeudi !
Alors Bon courage !
Recommencé et terminé chez Michèle et Armand à 23 h15
# N'oubliez pas non plus de jeter un coup d'oeil sur les commentaires, ils ne sont pas privés'! Et bien sûr, vous aussi pouvez en mettre, avec un compte Google, cela ne pose pas de problème.
16 h : Je suis en chemin, Serge essaye de me joindre, il n' y arrive pas, on joue à cache-cache. Enfin on s'entend mais je suis à l'extérieur et pas en bonne situation d'écoute.
Il me dit qu'il est bien arrivé à Saint-Jean-de-la-Blaquière vers 14 h.
Il a encore plu et il y a eu un col pas trop difficile. Mais alors qu'il parcourait un chemin très caillouteux et difficile, Jean Etienne qui marchait seul, s'est "pelleté" et s'est ouvert la lèvre. Après je n'ai plus eu trop le loisir de discuter avec lui.
Serge devait aller sur la route pour téléphoner car au gite il n'y a ni Wi-Fi , ni même de réseau pour le GSM.
20 h 30 : Serge arrive à me contacter car on lui a chargé une application "haut débit".
Il me raconte sa journée:
" Parti à 7 h 25 sans déjeuner, avec seulement 1 litre de lait pour un Nesquick.
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| château de CASTELLAS |
Un plateau, puis un grand chemin forestier qui redescend vers le château de CASTELLAS.
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| Le pont de ARBORAS |
Il nous a rejoint au bar à ARBORAS où nous nous étions arrêtés pour nous restaurer.
J'ai demandé à manger un sandwich pour pouvoir prendre mon comprimé de Voltaren, mais on ne proposait que des assiettes garnies assez copieuses.
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| Expo des artistes du coin |
Ensuite la montée sous la pluie d'un 2 ème col à 450 m, facile à monter mais dont la descente avec de nombreux rochers, des escaliers et de la terre glissante, m'a provoqué de fortes douleurs.
On est arrivé au gite communal, où nous n'avions pu réserver vu l'absence de réseau.
Nous avons dû prendre les lits où il n'y avait pas de feuillet nominatif déposé.
Nous serons 6 pour la nuit avec 1 Français et 2 Italiens.
Ce gite est tenu bénévolement depuis 13 ans par Nathalie, une hôtesse très sympathique qui aime beaucoup les marcheurs.
Les 15 euros de la nuitée sont reversés intégralement à la mairie.
Ce soir, on mange un menu pèlerin au resto-snack du coin.
Demain, l'étape est prévue jusqu'à LODEVE à 14 km, ce qui amènera une journée plus reposante pour nos ... fatigués, éclopés et abîmés!
Heureusement on prévoit du meilleur temps pour jeudi !
Alors Bon courage !
Recommencé et terminé chez Michèle et Armand à 23 h15
De DOMINIQUE
RépondreSupprimer"Bonjour Serge,
Je continue à suivre avec intérêt ton parcours et m'aperçois que ta chute, si elle te gêne encore, ne t'empêche pas de progresser et n'entache pas ton moral.
Tu as l'air de bien t'entendre avec tes nouveaux compagnons de route...
Il est vrai qu'ils ont de l'expérience, surtout jean-Etienne avec tous ses chemins dans les jambes et Linda la marathonienne.
Avec le recul et un peu d'humour, je m'aperçois que je ne suis pas le seul à me tromper. Ce n'était pas pour moi une gloire mais un fait.
J'ai maintenant repris la vie de citadin avec des souvenirs pleins la tête, heureux d'avoir fait ce chemin...le blog m'y invite à chaque étape. Merci.
Je te souhaites de récupérer rapidement, il y a assez de difficultés sur la route sans ajouter celle sur le physique .
Dans tous les cas, Serge, bonne route pour les 900 km à venir.
Avec l'amitié d'un compagnon du Stevenson et un coucou à Anne qui te suit à la loupe pour faire vivre le blog." Dominique